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De quoi se nourrit Raisonnances ?

Le Développement Communautaire 

 

  • L’Humanisme Méthodologique : Il s’agit d’une approche anthropologique qui comprend une mise en pratique opérationnelle appuyée sur l’intelligence symbolique. A partir des expressions simples des personnes ou des groupes, les outils permettent de discerner les symboles mobilisés, et donc le sens du bien commun de ces acteurs.  Cette compréhension ouvre de nouvelles possibilités aux acteurs eux-mêmes afin qu’ils grandissent collectivement dans leur capacité à porter leurs propres projets. Cette approche est proposée par Roger Nifle. 

  • La démarche ABCD signifie Asset Based Community Development. Cette méthodologie considère les ressources locales comme les éléments fondamentaux du développement durable des communautés humaines (institutions, entreprises, association, habitants& récits).

 

En pratique

J’utilise ces approches pour accompagner des mises en application de développement territorial, auprès des habitants et des professionnels. Des outils précis sont manipulés pour faire évoluer la posture, révéler les ressources endogènes, coopérer dans l’action et soutenir une stratégie de développement.

Appreciative Inquiry traduit par La Démarche Appréciative 

 

Elle vise non pas à trouver les causes du problème mais à enquêter sur les raisons de la réussite. Elle se déploie selon une méthode précise de coaching qui fait reposer la résolution de problème sur les expériences positives du terrain (l’institution ou le quartier). Ce noyau de réussite sert d’appui à l’élaboration de nouveaux projets et permet la transition individuelle et collective.

 

En pratique  

Je m’inspire de cette méthode pour animer des ateliers de cohésion de groupe professionnels ou bénévoles. Je l’utilise aussi en la conjuguant avec d’autres outils pratiques pour aller vers les habitants d’un territoire à partir d’une grille de questions précises qui permet de révéler les potentiels  locaux en vue de construire des stratégies de développement territorial.

Le processus coopératif 

 

L'Institut des Territoires Coopératifs porté par Anne et Patrick Beauvillard propose un ensemble conceptuel et pratique qui consiste à travailler 3 dimensions :

- le je : l'expression de la  singularité de chacun, et la capacité à travailler sur soi-même

- le nous : la maturité du groupe à être, faire, et créer ensemble

- le dans : la prise en compte du milieu comme acteur de la coopération

 

En pratique  

Je me saisis des clés du processus coopératif pour distinguer les signaux faibles en moi, dans les relations et les groupes avec lesquels je travaille. Ces signaux permettent d'ajuster ma proposition de travail en vue de faciliter le processus coopératif entre les acteurs. 

La Participation demande de la méthode

Raisonnances croise plusieurs méthodologies inspirées notamment du Développement communautaire et de la démarche appréciative.

 

Nos prestations concernent l’ensemble des phases du projet : de la stratégie à l’évaluation. Pour garantir la réussite du projet, nous proposons un accompagnement adapté à chaque acteur du projet : le porteur et les différents participants.

Avec différents outils et techniques, les valeurs et les expériences positives de chacun sont formalisées.

Vos valeurs sont le point de départ pour déterminer vos objectifs et vos attentes mais aussi le contenu et l’évaluation du projet. Elles sont le ciment de la vision souhaitée du projet qui évoluera pour s’enrichir au fil des partages. Vos expériences positives parlent des compétences et des ressources à développer pour l'opérationalité du projet.

En trouvant la bonne résonance entre des acteurs différents, les ressources se conjuguent au service du projet commun enrichi.

L’objectif est de partagé une vision souhaitée du projet. C’est pourquoi les temps d’accompagnement sont soit communs à tous les  acteurs soit réalisés séparément si cela s’avère judicieux.

 

Nous démarrons par définir avec vous le niveau de participation souhaité et possible :

  • Information : transmettre des éléments du projet à un public cible sans attendre ni prendre en compte leur ressenti. La participation est minime mais elle démarre par ce niveau incontournable. Une bonne information est celle que le public pourra s’approprier ce qui demande une analyse fine du public en question en tant que communauté humaine.  

 

  • Consultation : transmettre des éléments du projet à un public cible et recueillir leur ressenti à chaud, sans accompagner leur maturation. Ce niveau est tout indiqué pour échanger avec un public déjà constitué et mûr ou bien lorsque le partenariat entre public et porteur est ancré sur des bases suffisamment solides.

 

  • Concertation ou co-construction : ouvrir des éléments du projet à un ou des publics pour les finaliser ensemble. Ce niveau exige une préparation préalable des publics et des porteurs pour qu’ils deviennent co-porteurs du projet sur certain volet. La préparation concerne aussi le contenu des éléments mis en concertation. En effet pour que la concertation soit efficace et légitime, elle doit concerner des éléments majeurs du projet. Ces derniers, par leur caractère complexe, réclame une préparation des publics non pas pour devenir expert technique à la place des professionnels, mais pour devenir expert d’usage.

 

  • Coopération ou co-décision : créer un projet ou certain élément du projet ensemble. A ce niveau, la participation de chacun doit être clairement définie pour apaiser et cadrer les enjeux de pouvoir. La préparation de chaque partie prenante est nécessaire pour assurer une co-décision efficace.

 

  • Gouvernance : créer un projet ensemble à toutes les étapes. La gouvernance revient à définir le fonctionnement par rapport à une orientation générale. Il convient donc de débuter par la clarification de cette orientation avec toutes les parties prenantes.

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